Qui suis-je?
Tu trouveras ici seulement un résumé de ma biographie émotionnelle puisque les émotions, sentiments, sensations constituent la matière invisible mais déterminante que travaille la technique de Pardon Radical et celle aussi qui façonne notre « réalité » quotidienne à travers nos projections.
Je diffuse le message car j’ai vérifié qu’elle est extraordinairement efficace et qu’elle agit à la mesure et au rythme de chacun, ce qui me semble crucial pour développer, entre autres, la confiance en soi, l'autonomie et la capacité de co-création.

Mon curriculum émotionnel est le suivant:
Mes grands-parents maternels et paternels étaient des réfugiés républicains espagnols. Ma mère est entrée en France en février 1939, âgée de 9 ans et mon père de 14 ans. Mes deux grands-pères avaient servis dans les forces de l’ordre bien avant et pendant la République espagnole et ils se connaissaient du fait de partager la même idéologie. Ils ont crû en un idéal de progrès pour l’humanité et ils lui ont tout sacrifié. Ils sont passés en France les mains vides et abattus par le naufrage d’un projet autant personnel que national, et se sentant coupables et honteux d’avoir entrainé leur famille à la misère et l'angoisse de l'exil. Ils sont passés d’une vie passionnante, digne et chaleureuse à une vie déchue, ont perdu des êtres chers en route, ont subi l’occupation allemande et la déportation de certains membres dans des camps de travail.

En 1950, ma mère s’est mariée tout en noir en portant le deuil de son père, décédé quelques mois auparavant  dans les conditions d'un indigent, à l'hôpital, seul, à cause des règles de visites impitoyables. Un homme autrefois cultivé, musicien, sociable et respecté.
Je trouve mes parents très beaux sur la photo et se marier en noir témoigne à la fois d'une grande perte et de la volonté de s’en sortir. Ils étaient tous déterminés à survivre, sans piétiner personne, et petit à petit ils se sont fait leur place. En 1952, je suis née dans les conditions générales de l’époque: accouchements en grands dortoirs, dans des hôpitaux aux carreaux blancs, lits métalliques, bassins métalliques sous les reins et un personnel aux manières carcérales. On m’a baptisée avec le prénom de ma grand-mère paternelle, Dolorès, un prénom que j’ai été tentée plus tard de remplacer par celui de <em>Gloria</em> (Gloire divine). Dolorès est l’un des <em>surnoms</em> donné à Marie selon ses lieux d’apparition ou les épreuves de sa vie en tant que mère de Dieu. La Vierge des Douleurs (Dolorès) est aussi connue comme Vierge de l’Amertume, de la Piété, des Angoisses, de la Charité, de la Solitude ou comme <em>Dolorosa</em> (la douloureuse). Ce nom fait allusion aux douleurs de la Sainte Mère face aux épreuves et souffrances de son Fils.
C’est seulement bien des années plus tard que j’ai pris conscience du sens à peine caché de mon nom complet. En Espagne, toute personne porte le premier nom de famille de son père et de sa mère, donc deux noms de famille. Toute femme, mariée ou célibataire, conserve ses noms de famille (dans mon cas: Lucia et Colon). Le sens de Dolorès, je l’ai déjà expliqué, Lucia est en rapport avec la lumière (la conscience) et Colon avec la colombe et l’Esprit. Impossible de se défiler !
Ma mère et moi n’avons jamais été compatibles. C’est uniquement en me travaillant avec des ateliers de Pardon Radical à son sujet que nos relations sont devenues paisibles, complices et affectueuses. C’est ainsi que j’ai réalisé qu’elle est restée bloquée sur les sept premières années de son enfance heureuse et protégée à Madrid entre 1928 et 1935 et c’est à cause de cela que, pour elle, seuls les morts sont parfaits et dignes d’amour car figés dans le temps. Les vivants salissent, mettent du désordre, dérangent, etc. En plus ironique et distante mais aussi vitale, généreuse et solidaire. Mon père, un petit Leonard de Vinci, aussi capable de cultiver une vie intérieure philosophique et spirituelle, que d’inventer toutes sortes d’appareils et de réparer absolument tout, d’une télévision à des installations de centrale atomique. Comme un oursin, tendre au-dedans et toutes épines dehors.
Pendant mon enfance, ce que nous appelons aujourd’hui maltraitance des enfants était la norme et le martinet très en vogue. Dans mon proche entourage quelqu’un s’est aussi occupé avec harcèlement et attouchements de me faire prendre conscience trop tôt que j’avais un corps. Cela aussi je l’ai dissous à grand renfort de Pardon Radical.
Vers mes 6 ans j’ai été séparée de ma mère malade de ce qui semblait être une tuberculose et on m’a internée pendant six mois avec ma sœur de 4 ans dans une espèce d’institution pour enfants avec parents en difficulté, l'Aérium de Glé. Ce lieu était du type orphelinat de l’époque qu’illustrent certains films épouvantables. Quand j’ai revu ma mère, pour moi c’était une inconnue. Les années sont passées et la violence a continué à être très présente dans ma vie.
Pour faire court, je peux dire que je ne me suis privée de rien: les séparations, deux tentatives de suicide et une fugue, des amours catastrophiques, le désamour rampant, les changements de pays, les pertes, la peur, la solitude, les déceptions professionnelles, etc. Et tout cela je l’ai encore vécu avec la « conscience de victime » si bien définie par le Pardon radical.
Depuis mon jeune âge et probablement comme tendance héritée de mon père,  mes lectures, pensées et explorations de la réalité se  sont orientées principalement  sur les perspectives psychologiques et spirituelles, à la recherche d'une formule permettant de réaliser une intéressante transmutation de la souffrance en moi, chez les autres et dans le monde. Mon idée étant que la souffrance est une matière première recyclable, attendant d'être convenablement travaillée au lieu de s'y résigner et de la justifier.
C’est seulement avec un bagage de douloureuses péripéties, 15 ans après la naissance de mes deux enfants et après une nuit noire de l’âme que le Pardon Radical est apparu dans ma vie. J'y ai trouvé enfin des explications qui m'ont plus que comblée et j'ai vérifié l'efficacité de ses outils pour transmuter la souffrance et produire des améliorations inouies et permanentes dans la vie. J’ai tout de suite souhaité en faire bénéficier le plus grand nombre possible de personnes.
C’est pour cela que vivant en Espagne, j’ai commencé par traduire en espagnol et par publier moi-même le premier livre de Colin Tipping sur le Pardon Radical et que je suis partie à Atlanta pour suivre avec lui l’entrainement pour devenir coach de la technique. Entre la France, l'Espagne, le Méxique, le Guatemala et le Salvador, j’ai animé des ateliers de Pardon, d'Auto-pardon, de Manifestation Radicale, des Céremonies de Pardon Radical et autres formules, suivant le thême à traiter, pour des particuliers, des groupes et en entreprise.

Dernièrement je me consacre exclusivement à la creátion de materiel pour aider les personnes que je publie sur ce site.

<strong>Témoignages</strong>
Véronique – Lola, tes paroles m’ont beaucoup touchée, elles m’ont parlée comme si tu me connaissais depuis toujours pourtant nous n’avons passé que quelques heures ensemble. Comme j’aimerais aider les personnes comme toi tu arrives à le faire!

Isabelle – Merci pour tout ce que nous avons partagé, pour m’avoir aidée à grandir. Grâce à ton accompagnement et ton soutien je suis arrivée à me libérer de mon passé si douloureux, à pouvoir regarder en face des choses difficiles, à découvrir qu’il est possible de vivre et de voir les choses autrement, d’avoir une attitude plus positive face à la vie, de me dépasser et d’apprendre à m’aimer. Tout ce que j’ai travaillé avec toi m’a beaucoup libérée. Merci pour ton temps, ton engagement, ta compréhension, ton amour et ton soutien.

Christine: Tu es agréable et douce comme un baume. Tes paroles et le ton de ta voix donnent la paix et ton sourire donne espoir et confiance.

Mireille – Merci pour cet atelier et cette  journée très spéciale et profonde. Grâce à toi,  je me suis rendue compte qu’il n’y a pas de monstre caché sous mon lit et que prendre soin de moi n’est pas de l’égoïsme ou de l’égocentrisme. Il y a seulement une petite fille apeurée qui a besoin qu’on la prenne dans les bras pour l’envelopper et la rassurer et j’ai découvert que mes bras sont suffisamment forts, dignes et capables de rassurer ma petite fille intérieure effrayée et qu’elle n’est pas un monstre.

Hervé – Je te renouvèle ma gratitude pour ton magnifique atelier. J’attends impatiemment le prochain.

Elisabeth – Bonjour Lola, merci pour ces deux journées extraordinaires.

Michaela - Salut Lola, toute ma gratitude pour ce weekend si libérateur et porteur de paix et d’Amour.

Marie – Chère Lola, un grand merci pour ce weekend plein de prises de conscience. Merci pour ton humilité, ta présence et tout ce que nous avons partagé.

Nathalie – Un petit courrier pour te dire que je pense souvent à toi et à tout ce que tu m’a appris.

Marion – Merci Lola, le pardon est facile après un de tes ateliers.

Isabelle – Je tiens à te remercier pour ce weekend pour moi riche en émotions et partage. Ma tristesse et mes appréhensions au moment du départ se sont vite transformées en joie parce que j’ai réalisé ma chance d’avoir baigné dans une ambiance maternelle et protectrice grâce à toi et à ta générosité.

Anne-Marie – Ce travail de ressentir mon corps, de connecter avec ce souffle qui me comble, circule au-dedans de moi en emportant tout  le superflu, je le pratique et j’en prends soin.  Merci de me l’avoir rappelé d’une autre manière, et la tienne est très belle et arrive à point. Encore merci.  La Cérémonie de Pardon Radical m’a libérée comme en jouant et m’a beaucoup émue.

Mercedes – Bonjour Lola, après avoir lu ton histoire je veux que tu saches que traduire le livre a été le meilleur cadeau que tu pouvais nous faire à nous qui parlons l’espagnol. Merci pour la qualité de ton âme, ton engagement et pour être comme un ange dans ma vie. Du fond de mon âme toute ma gratitude.

Marie – Merci à toi et à tous les participants pour votre présence pendant une journée d’émotions et de libération. Pour moi le moment le plus fort et puissant a été le premier cercle de la Cérémonie de Pardon Radical. Comme je vous ai déjà dit j’ai ressenti beaucoup d’amour et de soutien et ce souvenir m’aidera dans les moments de tristesse à me rappeler que nous ne sommes pas isolés. Ah, et je dois vous dire que des petits miracles ont commencé à apparaitre dans ma vie familiale et professionnelle. Alors je continuerai à travailler avec le Pardon Radical.

Sophie - Merci Lola pour ton travail! Avoir découvert cet outil m’aide à me libérer d’une énergie très dense et ça va encore plus vite avec l’atelier.

Marc - Lola...Merci!!! De tout mon cœur! Je suis sorti de mon tunnel grâce à l’atelier.

Vivianne - Toute ma reconnaissance pour la cérémonie de dimanche ! Simple, profonde, droit aux cœurs avec une grande différence entre l’avant et l’après. J’ai croisé d’autres participants dans la semaine et nos regards étaient complices et proches. Au fait, Lola, il y a quelque chose qui m’a beaucoup touchée, c’est quand tu as dis que tu viens d’une profonde timidité et de croire que tu n’avais rien d’intéressant à partager… ça résonne avec une de mes vieilles blessures qui guérit petit à petit. Merci d’être si naturelle et merci à ta « grande fille » de réconforter ma petite fille intérieure.

Mabel – Bonjour Lola, c’est  Isabelle et Patricia, mère et fille, qui avons participé à ton atelier. Ton message nous a passionnées et nous te remercions individuellement et collectivement pour ton travail et ton énergie qui font partie de ce grand courant vibratoire dans lequel nous devons tous être unis pour guérir la planète et l’accompagner dans son évolution.

Raphael - MERCI Lola. Tu réapparais comme la rosée dans ma vie qui de nouveau se desséchait. S’il te plaît continue à partager avec les entêtés comme moi qui parfois s’oublient d’eux-mêmes. J’ai toujours soif de comprendre et de m’imbiber de réalités comme celles que tu enseignes. MERCI !

Rose – Il y a deux ans, j’ai participé à ton atelier de Manifestation Radicale et j’en suis très contente. C’est un très bon outil. Utilisé avec régularité il aide à surmonter les différentes épreuves de la vie qui change tout le temps.

Daniel: MERCI, merci beaucoup pour tes Newletters. Comme d’habitude, merci d’exister ! Tes messages m’apportent toujours une énergie de qualité qui multiplie mon bienêtre.

Irma: Connaitre Lola et travailler avec elle et le Pardon Radical ont produit des effets spectaculaires dans ma vie. J’ai vu se succéder les évènements et grâce au PR j’ai obtenu la quadrature de tous mes cercles. J’ai vécu avec l’accompagnement de Lola des expériences incroyables et formidables du fait de la rapidité de résolution de plusieurs situations difficiles. Aux personnes qui liront mon témoignage je veux dire que j’en aurais des choses à raconter, mais que le mieux pour toi c’est de t’encourager à en faire l’expérience, j’en suis tellement reconnaissante.